Delay the Sadness


Au rythme ternaire, la routine continue

Un chagrin traverse mon visage de poupée
Vite défroissé sous les mains
Seul, on est ensemble
A un degré moindre, j’entends mieux l’inquiétude

Devant le miroir, les larmes tombent
Mon corps toujours oppressé
J’entends les cloches
L’adrénaline monte

Puis vient la colère

Je suis l’ennemi de moi-même
avec mon fusil sans balles

La nausée se prépare
De mon corps tremblant
sort cette tristesse sans voix

Laissant tout là-haut

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